,,On le connaît sec, piquant, parfois à la limite de l’agressivité, mais lorsque Nicolas Sarkozy s’éloigne de la politique, il montre un tout autre visage. Cette semaine, c’est ce que l’on découvre dans Paris Match, où Carla Bruni explique quel genre d’homme est son mari à la maison : « Autant son énergie est galvanisante, presque brutale, en public, autant il est sentimental et doux en famille, déclare l’ex-première dame. Avec ses trois grands garçons et mon fils, c’est une réussite. » Avec Giulia, leur fille née en 2011, c’est encore un travail en cours : désormais âgée de trois ans, la petite a déjà son petit caractère, comme le révèle l’hebdomadaire.
Sarkozy le pére"Toujours prêt à venir jouer, « à quatre pattes », avec sa fille chérie, l’ancien président de la République lui pose sans cesse la même question : « Est-ce que tu m’aimes ? » Forcément, au bout de « la dix-huitième fois », celle-ci commence à en avoir assez de lui répondre des « oui » rassurants, et lui rétorque, soudainement taquine : « Toi, tu me laisses tranquille. »
Aucun doute, avec une telle répartie, elle est bien la fille de son père. "
Egy kis részlet, magyarul.
Sárközy az apa "mindig készen áll, hogy jöjjön és játsszon," négykézláb "az ő szeretett lányával.
A korábbi elnök megkérdezte tőle, de mindig ugyanazt a kérdést:" Szeretsz engem? "
Elkerülhetetlen, miután "a tizennyolcadik alkalommal," is ezt kérdezte az apa,
a kislánya kezdte megunni rá választ "igen"
És hirtelen így szólt az apjához .
- " Te,nekem hagyj békén" !
"Nem kétséges, a három éves kis Giulia, kimondottan apja lánya "
Sarkozy le pére"Toujours prêt à venir jouer, « à quatre pattes », avec sa fille chérie, l’ancien président de la République lui pose sans cesse la même question : « Est-ce que tu m’aimes ? » Forcément, au bout de « la dix-huitième fois », celle-ci commence à en avoir assez de lui répondre des « oui » rassurants, et lui rétorque, soudainement taquine : « Toi, tu me laisses tranquille. »
Aucun doute, avec une telle répartie, elle est bien la fille de son père. "
Egy kis részlet, magyarul.
Sárközy az apa "mindig készen áll, hogy jöjjön és játsszon," négykézláb "az ő szeretett lányával.
A korábbi elnök megkérdezte tőle, de mindig ugyanazt a kérdést:" Szeretsz engem? "
Elkerülhetetlen, miután "a tizennyolcadik alkalommal," is ezt kérdezte az apa,
a kislánya kezdte megunni rá választ "igen"
És hirtelen így szólt az apjához .
- " Te,nekem hagyj békén" !
"Nem kétséges, a három éves kis Giulia, kimondottan apja lánya "
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